L’euro a été mis en place, justement pour détruire les acquis sociaux.
L’euro n’a pas été une décision économique mais politique.
Pour faire baisser le prix du travail. C’est ce qu’explique un des créateurs de l’euro, Robert Mundell, dans un article au Guardian.
« Les ravages sociaux de l’ euro : une stratégie délibérée ! »
"(...)« Il est très difficile de licencier des travailleurs en Europe », se plaignit-il. Sa contre-attaque : l’euro. L’euro fera vraiment son travail quand la crise aura
frappé, expliquât alors Mundell . Le retrait du contrôle du gouvernement
sur la monnaie empêchera alors l’utilisation des politiques monétaire
et budgétaire keynésiennes par les vilains petits élus pour sortir une
nation de la récession. (..)
Et quand une crise arrivera, les nations économiquement désarmées
n’auront plus comme solution que déréglementer le droit du travail,
privatiser les entreprises d’Etat en masse, réduire les impôts et
d’envoyer les États-providence en Europe dans les égouts." (...)