Les journalistes ont longtemps été considérés comme un quatrième pouvoir, à une époque ou ils étaient les seuls à maitriser l’information, à la vitesse qu’ils souhaitaient.
Aujourd’hui la masse d’information à traiter, plus les délais de traitements de plus en plus courts, fait des journalistes une masse informe de répétiteurs de dépêches d’agences de presse plus ou moins orientés selon les sensibilités. Ce « quatrième pouvoir » n’est plus qu’un ersatz.