L’horreur économique revêt tjrs les mêmes formes :
Capital ,exploiteurs (pudiquement regroupé sous le terme de business du sport : clubs, joueurs, FIFA, exploitants d’orde divers allant des conseils juridiques aux stés de gestion des droits d’image, agences de pub, autorités politiques locales,lab pharmaceutiques, filières, zinzins type ONU) et consommateurs (dont le champ s’est élargi au de la du cercle des supporters par un phénomène universel de panurgisme qui ne se limite pas à ce seul secteur, l’évolution du métier rassemble un consensus pas même honteux de ses pratiques.
Dans une indféirrence généralisée ( revendiquée et affirmée) à l’égard des soutiers ravalés au rang d’esclaves.
Le montant du transfert et le salaire versé à Neymar, son aura propulsée par les media, vérifient au moins un point connu de longue date /
la taille des entreprises & entités économiques (et par conséquence des profits) est liée à celles des marchés sur lesquels elles opèrent,
Marché de dimension mondiale à ce jour notamment en ce qui regarde le business du sport et des spectacles.
E Marron a précisément défini le clivage actuel : être quelqu’un dans un domaine donné ou n’être rien,
être rien, dans de nombreux pays signifie être livré à la misère et à l’arbitraire, et dans nos pays finir en charpie.
Parlez en à un amateur de spectacles sportifs,
s’il vous traite de naïf,
c’est que vs avez à faire à une personnalité modérée, limite introvertie.