Ceci dit, je m’en fous pas mal de ne pas avoir le label « vraie gauche ».
D’une part parce qu’il ne faut pas être là où l’ennemi vous attend et a déjà braqué ses batteries.
D’autre part parce que les idéologies du 19e siècle ne sont plus du tout adéquates pour traiter les problèmes du monde actuel. Les réalités néo-coloniales actuelles demandent un profond remaniement intellectuel et organisationnel, qui ne sont pas faits.
Et on ignore en quelle langue le faire fonctionner l’internationalisme prolétarien.