Il se lâche, Bachar el Assad, depuis quatre ans que j’écoute toutes ses interventions, enfin celles que je peux avoir, il n’a jamais été aussi franc que cela.
Poutine aussi du reste ! On les comprend bien et personnellement j’admire la modération dont ils ont fait preuve l’un et l’autre jusqu’ici.
La Syrie n’est pas au bout de ses peines, et je réitère ce que je disais il y a déjà quatre : nous, le peuple d’Occident, devrions être plus « expressifs » à l’encontre de nos pouvoirs ; n’oublions pas que les mouvements populaires ont largement aidé à la fin de la guerre au Vietnam.
Mais c’est vrai, nous avons tant à faire chez nous...