Aymeric revient aux bonnes réalités bien concrètes : à ce genre de réunion, il faut venir avec son carnet de chèques, et mieux, avec du numéraire. Si, en effet, une organisation loue (très cher) une salle de réunion, il faut ensuite qu’elle la rentabilise.
Hier les esclaves de Mauritanie, aujourd’hui les populations massacrées au Darfour, demain une autre ethnie d’Afrique, font ou feront recette auprès des personnes qui ont mauvaise conscience.
En revanche, les petits Indiens miséreux n’intéressent plus personne depuis que Mittal a racheté Arcelor et « discipline » les ouvriers français.
vraitravailleur