Et l’auteur omet, peut-être ne le sait-il pas, que Lagardère s’est fait tiré l’oreille quand il a voulu mettre en place une politique plus financiariste qu’industrielle chez EADS en négligeant les investissements sur fonds propres obligatoires dans ce type d’activité industrielle ; mais ce sont des investissements à long terme, ce que n’apprécient que modérément les financiers.
Mais notre auteur n’a guère d’éthique, profitant d’une passe difficile pour faire valoir, une fois de plus, ses postures dogmatiques ! Sauf à prouver que les grandes entreprises à fonds exclusivement privés ne rencontrent jamais ce type de problème !
Il reste cependant préoccupant que cette situation perdure ; pourtant, ne nous dit-on pas que l’Union est le sacre de l’entente cordiale entre les nations qui la composent ? Encore une belle illustration de la compétition entre Etats de l’Union !