Autre proposition, si on simplifie les choses en disant : la droite c’est moins d’Etat, la gauche c’est plus d’Etat.
Alors en considérant que le niveau d’intervention de l’Etat est globalement satisfaisant on peut dire que la solution est ailleurs : l’amélioration de nos conditions de vie dépend plutôt de la productivité, aussi bien dans le privé (plus de richesses) que dans le public (plus de services publics avec moins d’impôts), et dans le rétablissement d’une hiérarchie des priorités (par exemple 1 le chômage, 2 l’éducation, 3 la pollution...).
Or ces améliorations ne dépendent ni d’idées de droite, ni de gauche.