30% sur lesquels on ne peut rien, donc, puisque jusqu’à démonstration du contraire il nous est impossible d’agir sur l’étoile Soleil.
Loin de minimiser la responsabilité de l’homme dans le réchauffement climatique, il me semble qu’une telle hypothèse abonde dans le sens de la nécessité urgente d’actions au niveau des paramètres sur lesquels on a prise... à savoir les activités humaines.
Il apparait qu’au point où nous en sommes aucun scientifique compétent, honnête et libre de s’exprimer ne conteste la réalité du réchauffement climatique ; il n’y a plus polémique que sur les causes du réchauffement. Or notre part, donc probablement la seule sur laquelle on peut agir, ne serait-elle que de 10%, il serait encore plus impératif d’agir sur cette part.
Ceci étant dit, je me demande pourquoi tous ceux qui nient la responsabilité humaine dans cette affaire, et qui auraient pu argumenter, dans une démarche scientifique, devant leurs pairs, lors du sommet de Paris, préfèrent prendre le grand public à parti.