Objectivement, qui a intérêt à faire une paix durable dans cette partie du monde ? Personne : ni les américains dont vous soulignez les intérêts géographico-économiques, ni les pays arabes qui se fabriquent ainsi une légitimité face à leurs opinions publiques opportunément détournées de questions plus terre à terre...
Al Quaeda a changé la donne, certes. Mais on pourrait n’y voir que l’action « romantique » d’une poignée de révolutionnaires qui ne proposent que d’appliquer un modèle conservateur, voire franchement réactionnaire, à des populations soumises au grand défi du modernisme.