à le voisin. Vous dites : « »Erreur, ce sont les impôts des classes aisées qui payent ces allocations familiales.« »
Erreur, les impôts des classes aisées ne paient pas les AF. Où avez vous été cherché ça ?
Vous écrivez plus loin : « »La réalité, quitte à avoir une politique nataliste, c’est qu’il est mieux pour l’Etat que ce soient les riches qui aient beaucoup d’enfants, plutôt que les pauvres.« »
Là encore, c’est n’importe quoi, je suis désolé.
Vous n’ignorez pas que le quotient familial qui conditionne le barème de l’IR dépend du nombre d’enfants du foyer fiscal. En réalité, le dégrèvement d’impôts dont bénéficie un assujetti aisé est sans commune mesure avec les AF. Et ceci, dès le premier enfant.
J’avais fait un calcul lorsque Jospin avait voulu faire sa réforme. Un foyer moyennement riche perçoit à ce titre plusieurs fois le montant normal des AF. Je puis retrouver cette étude et la publier.