@ l’auteur
bonjour,
permettez-moi d’être un peu déçu de cette conclusion que je trouve « franchouillarde » ou « surtout n’allez pas travailler avec les autres au risque de leur transmettre votre savoir-faire ».
Primo, si ce ne sont pas les français qui le font, d’autres s’en occuperont avec tout autant de compétences. A l’arrivée, le petit producteur français perdra quelques parts de marché... sauf que ce sera au profit de sociétés américaines, espagnoles, italiennes, ausraliennes ou je ne sais quoi encore.
Secondo, les investisements (puisque c’est bien de cela dont il s’agit) des groupes français cités sont certainement calculés et sources de profit.
Tertio, ne prenons pas les argentins pour ce qu’ils ne sont pas : des incultes du vin et de son commerce. Les français font des vins excellents et ce depuis longtemps. Mais il y a belle lurette qu’ils ne sont plus les seuls à maitriser ce sujet.