A ce titre et comme vous le recommandez, l’Agence d’Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur (AERES) devrait voir confirmer ses missions dans quelques mois. Après les élections présidentielles, cela va de soi.
L’évaluation des enseignants du supérieur est encore plus ou moins tabou(e) dans notre pays, comme vous le savez sans doute, et cela touche bien évidemment le domaine de la formation des maîtres. C’est regrettable, car on généralise couramment les défauts de quelques uns pour faire de tout un corps de métier des « baratineurs », comme vous l’écrivez.
J’imagine pour ma part que cela vaut pour tous les milieux professionnels.