Est-il bien utile de dépenser toute cette énergie pour écrire et répéter ce que l’on peut lire partout : Bayrou a peu de chance d’arriver au second tour parce que son électorat est indécis... Est-cela, « penser » ? Et si, au contraire, le fort taux d’indécision confirmait la fragilité, voire la caducité, du clivage droite/gauche et profitait in fine au candidat centriste ?! RV le 22 avril au soir, pour une surprise qui devrait en laisser plus d’un sans voix...