Aucun rapport.
La peur physique dans les espaces publiques s’ajoute aux incertitudes économiques.
Toutes les réponses ne sont pas sociales.
Par votre discour qui enlève le statut de victimes à ceux qui sont agressés tous les jours, vous ajoutez au malaise, vous agressez une deuxième fois les victimes.
Ce qui fait mal, c’est qu’après une agression en se rendant au commissariat, le policier qui vous accueil avec compassion ne vous laisse aucune illusion sur les suites probables à votre affaire. Après ceci vous ne pouvez plus entendre un discours moralisateur qui va vous expliquer que votre agresseur est une victime.