Simple et évident additif à l’article : ces réflexions concernent naturellement le futur, sans doute proche. Dans l’immédiat, il va de soi que, comme Rocard et Kouchner l’ajoutent à leur propre intervention, ne pas voter S. Royal au premier tour correspondrait, de la part des électeurs de gauche,à la politique du pire soit en favorisant l’élection de N. Sarkozy, soit en faisant courir le risque de faire disparaitre la gauche du deuxième tour.