Salut Pierre,
Et, oui, cruelle est la vie. Chacun fait son entrée, son exposé de lui-même et sa sortie en catimini ou sous les phares de l’actualité. C’est une des seules justices dans ce monde.
Le principal, c’est que dans l’interstice, l’ « être vivant » aura eu la chance d’être motivé et d’avoir pu faire ce qu’il désirait le plus souvent pendant le laps de temps. C’est ce qu’on appelle un vie bien pleine. On ne voit pas passé le temps, ça s’est le revers de la médaille.