Et le succès de ces fêtes, de ces journées, est tel qu’il semblerait que nos 364 jours annuels en soient réduits à rien comparés au nombre de journées, de ces fêtes censées s’y inscrire. Le calendrier n’est alors qu’un prétexte intéressant à la spectacularisation et à l’exploitation du temps. Voilà une tendance intéressante.
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