« »On peut même élargir la notion de photogénie. On parle de paysages photogéniques, d’objets photogéniques, c’est-à-dire aptes à donner une image en deux dimensions flatteuse, « »
Cette différence entre 2 et 3 D est perceptible entre sculpture académique et peinture.
Est-ce qu’il n’y aurait pas un rapport avec nos souvenirs premiers du visage maternel, lorsque nos yeux étaient plus rapprochés que dans notre visage d’adulte ? Non seulement la photo donne une image 2D mais de plus, elle n’est pas stéréoscopique. Cette vision monoculaire, ’convexifiante’ (ou ’concavifiante’, mais c’est moins joli), avantagerait certains visage.