Lorsque la France dit ’non’ à un traité majeur, fut-il bon ou mauvais, sa position au Conseil en est singulièrement affaiblie. Concrètement, on lui recommande de faire preuve de prudence autour de la table de négociation au Conseil.
Voire tout bonnement de se taire lorsqu’à l’accoutumée, elle se veut donneuse de leçons.