On a bien compris.
Il est question de dignité publique et de liberté contenue justement en regard de celle des autres, en l’occurence des téléspectateurs.
Un type qui se comporte à la télé comme s’il pétait dans ses chiottes n’a pas le respect des autres, pas plus que de lui-même. Il n’a pas conscience de limites d’urbanité et donc pas qualité à nous représenter, dans le sens où sa qualité est inférieure à celle du citoyen lambda.
Ce type doit être privé de la direction de son parti, comme de tout mandat.