Au risque d’en offusquer certains, je doute que le recours aux élections soit la meilleure idée en ce moment. Plutôt l’état de siège, les pleins pouvoirs, et après on voit. Il ne faut pas que les partis religieux courent le moindre risque de les gagner.
Les islamistes suivent dans les faits la phrase malheureuse de Charles Maurras : Je réclame ma liberté au nom de tes principes ; je te refuse la tienne au nom des miens !