J’ai réfléchi un peu et je me suis mis à imaginer des scènes familiales du genre : « si tu n’as pas de bonnes notes, tu n’auras pas ton chichon samedi soir ». On croit rêver, non ?
Sur le plan thérapeutique, en dehors du glaucome et d’un effet adjuvant anti-douleur, est-ce qu’on pourrait considérer le thc ou dérivés comme des psychotropes utilisables ?
D’un point de vue pratique, comment faire ? Je ne sais pas, il faudrait créer en discuter longuement sans doute dans des commissions. Considérer la minorité en dépénalisant l’usage, pour commencer ? Franchement, je n’ai pas d’opinion. Les mœurs, c’est de la matière vivante et c’est délicat d’agir sur elle.