Le taux de développement d’un pays est directement proportionnel au taux d’alphabétisation des femmes dudit pays.
Cette règle est affirmée par de plus en plus d’économistes, et elle est marquée au coin du bon sens.
Ce n’est pas en restant accroupi sous le baobab toute la journée à raconter des conneries que les hommes d’Afrique s’en sortiront par eux-même.
Et tant que, dans leur hiérarchie, la femme sera notée très loin derrière la chèvre, ils n’ont pas fini de nourrir les poissons de l’Atlantique.
Le coupable n’est pas l’homme blanc, il s’appelle islam !