C’est le rapport anonymat-liberté qui me fait dire anonymat-perte d’identité donc liberté-perte d’identité. Identité que l’on remplace au pluriel, comme vous le soulignez. Avancer que liberté signifie perte d’identité peut choquer, philosophiquement parlant. Je crois néanmoins que cela reste vrai dans le cas de l’anonymat.
Je connais un peu les théories de Baudrillard sur les échanges mais peut-on parler d’échanges pour des tractations qu’on est forcé d’effectuer (la réponse à sa perte d’identité) ? Le problème, comme j’ai essayé de le dire, reste que ces nouvelles identités sont transparentes et qu’on peut les abandonner comme bon nous semble pour en prendre de nouvelles. Ce que j’appelle : ne pas les assumer.