a Guillaume,
Bien sûr, la question des ingérences est toujours mauvaise en soi. Mais alors que faites vous face aux ingérences économiques et aux soutiens à la stabilité des régimes qui sont favorables comme chacun sait à la poursuite des trafics commerciaux pas toujours trés nets, qui président à l’organisation mondiale ? Une ingérence sur le developpement démocratique, avec ses dérives, ses erreurs, n’est’il pas le minimum que l’on puisse faire pour contrebalancer ce cynisme commercial international. La question n’est elle pas plutôt chez nous afin que nos propres « démocraties » soient à la hauteur pour réfléchir à cette ingérence démocratique éventuelle ?