Il faudrait poser plus globalement la question de la place et des formes de publicité.
Pourquoi interdit-on les images subliminales tout en autorisant le matraquage publicitaire à longueur de spots toutes les 10 minutes ?
La technique du matraquage, quoi que plus grossière, est très proche du subliminal : répeter sans cesse « mon produit est bon », « mon produit est bon », « mon produit est bon » sans fournir d’éléments vérifiables ou compréhensibles par le spectateur.
Au delà de l’effet statistique qui va forcément conduire certaines personnes à croire au slogan, on peut toujours ajouter deux ou trois têtes connues. Après tout, si Zidane dit que c’est bon, ça doit être vrai...
Il y aura toujours les enemis jurés de l’interdiction, mais que proposent-ils, à part laisser faire ?