@ zen
« La carte n’est pas le terrain.. »
C’est vrai.. mais le storytelling va plus loin et procède souvent, d’un problème complexe, par « reductio ad personam », une simplification réductrice à une petite histoire individuelle, où chacun peut s’identifier et qui porte en elle une morale édifiante et un bon sens rassurant propre à fédérer..
Pas loin du mécanisme du « culte de la personnalité », qui réduit un discours politique aux injonctions d’un Pêre infaillible, à la fois bienveillant et sévère..
gAZi bORAt