« Peut-être parce que, A history traitant de l’Amérique et du peuple qui là façonne, il est plus facile à un américain de la raconter que de parler de la mafia russe à Londres ». (hieronymus73)
Peut-être... mais précisons toutefois que David Cronenberg tient souvent à rappeler qu’il est canadien et non pas américain au sens strict ! Alors, certes, le Canada c’est aussi l’Amérique (du Nord), mais il vaut mieux préciser, selon moi, d’autant plus que, dans « A History of violence », il questionne l’Amérique telle qu’on l’entend habituellement et ses codes (la famille, le « home, sweet home », le western, le film noir, les campus, les pom pom girls, et cetera).