A noter que les deux poilus survivants ont déjà signifié qu’ils ne souhaitaient pas de funérailles nationales, comme quoi la boucherie de 1914 n’avait pas que des convaincus. Pétain, le décimateur, doit moyennement apprécier là ou il est. Ceux de Craonne avaient donc raison, saluons les au passage. Le problème que vous évoquez est avant tout, en dehors de l’appât d’un hypothétique gain, celui d’un société qui bafoue chaque jour les valeurs de respect de l’autre. Les pilleurs de tomeb égyptiens ne faisaient pas mieux, remarquez. Quand aux nostalgiques des guerres qu’ils ne feront jamais...