« le maniaque sexuel est aussi une victime, différemment. »
L’auteur n’a rien compris. Tant que vous penserez que la foule cherche la « vengance », vous ne comprendrez pas.
On se fout de savoir si le maniaque est une victime, ou non. Nous cherchons juste à nous en protéger. C’est comme un chien qui a la rage. On va s’en isoler pour ne pas en être victime, et c’est tout. Il ne s’agit pas de le juger, de lui « pardonner », de le « comprendre ». Il s’agit juste de ne pas le subir. Alors après, si vous trouvez le moyen de le soigner, très bien, mais c’est votre boulot, pas le nôtre.