Bruno Waterfield, correspondant à Bruxelles de The Telegraph/www.telegraph.co.uk/news/main.jhtml?xml=/news/2007/11/14/wfra114.xml> a révélé hier que Nicolas Sarkozy, devant un groupe de parlementaires européens réunis à huis-clos, a admis
/www.solidariteetprogres.org/spip/sp_article-breve.php3?id_article=3508> que :
’des référendums sur le nouveau traité européen étaient ‘dangereux’ et perdants en France, en Angleterre et dans d’autres pays. Il y a un gouffre entre les peuples et les gouvernements’.
Parlant du référendum du 29 mai 2005, Sarkozy a dit que :
’La France n’était qu’en avance sur les autres pays dans son vote pour le NON. La même chose arriverait dans tous les Etats membres si un référendum y était organisé. Un référendum aujourd’hui mettrait l’Europe en danger. Il n’y aura pas de traité si un référendum a lieu en France, et il en va de même pour un référendum au Royaume-Uni.’
Mail tombé dans ma boite et livré brut