« Peu après, le cabinet Kendall and Freeman lui a proposé de signer une lettre d’excuses, en contre-partie de l’abandon des poursuites pour le versement de ces dommages intérêts. Sur cette base, ils ont signé une lettre stipulant que leurs informations contre le banquier saoudien étaient fondées sur des sources qui s’étaient rétractées postérieurement à la publication de leur livre. Les représentants de Khalid Bin Mahfouz, Kendall and Freeman, ont ensuite acheté des encarts publicitaires dans les grands quotidiens européens pour offrir une large diffusion à cette lettre. »