« Le garçon n’était jamais invité à s’amuser... car il n’était pas marrant pour deux sous. »
Il y en a des millions comme ça.
Qui pourtant ne se croient pas obligés de devenir de grands névrosés, de haïr la planète entière pour des raisons si futiles.
C’était un malade qui n’a utilisé ce prétexte que pour alimenter sa pauvre névrose de malade mental.
Il y en a aussi en France, ils ne massacrent pas à coup de fusils, mais deviennent des emmerdeurs de première au boulot et dans leur vie privée.