Breakbeat, je n’ai voulu dire ni l’un ni l’autre. Tous constatent une crise, périlleuse. Trop de gens, des politiques surtout, mais aussi beaucoup de prétendus économistes, l’utilisent comme argument justifiant leur critique systématique de ce qui n’y est pour rien ou pour pas grand-chose (les « marchés » ; ou le capitalisme le plus souvent). Les politiques que j’ai fustigés dans mon commentaire sont fort habiles à inculquer dans l’esprit des gens des idées fausses.
Et ce n’est pas la première « crise », ni probablement la dernière. Une opportunité de rétablir un sain équilibre ? Ce devrait l’être, mais ne peut l’être quand on la fait endosser par des boucs émissaires. C’est un fait que les politiques s’acharnent le plus souvent contre vents et marées à continuer dans leurs errements, car ce sont les autres qui paient leurs factures.