Vous avez bien compris l’un de buts de la démarche : il s’agit de cultiver le devoir de mémoire (et ce sont bien les historiens qui s’en occuperont et non le politique qui s’est contenté de donner l’impulsion nécessaire ainsi que les moyens) . Cette mémoire aura aussi pour ambition de lutter contre les formes d’esclavage moderne. Qui sait si demain certains de nos compatriotes même ne seront pas traités en esclaves dans des pays à très forte croissance où ils auront à s’exiler ?