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grangeoisi grangeoisi 5 janvier 2008 10:47

Disons que l’ADS-B permet une information constante sur l’environnement en trafic aérien grâce aux récepteurs de bord GPS modifiés.

Si chaque appareil « renvoie » sa position géographique et son altitude aux satellites constituant la couverture GPS et que cette position est reçue par les autres appareils environnants on conçoit que l’on puisse agir en conséquence pour l’anti-collision. Il va de soi qu’un calculateur est nécessaire pour faire le tri d’opportunité des informations et de la réaction de l’appareil si l’équipage s’avère défaillant !

Les remarques sur la nécessaire « soumission » des équipages aux ordres des contrôleurs aériens qui assurent la fluidité, la cohérence et la sécurité du trafic aérien sont valables « of course », heureusement on n’est pas encore à la circulation « free air and no ground control ».

Mais dans des zones à faible contrôle aérien dû autant à l’impossibilité d’avoir une efficace couverture radar qu’à la dimension de la zone à contrôler l’ADS-B est une superbe opportunité d’anti-collision.Nul ne pourra y trouver à redire.

Pour mémoire - déjà de l’histoire ancienne - sur des terrains dépourvus d’infrastructures de guidage à l’atterrissage le GPS permet de faire des approches en relative sécurité.


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