@ Ceri
C’est une illusion !
Que les maisons closes soient tenues par des hommes ou des femmes, ne change rien à l’affaire.
L’autogestion n’empêchera pas une femme du groupe de prendre l’ascendant sur les autres plus faibles et de devenir une maquerelle.
La gestion par l’état accenturait encore le rôle de proxénète de l’état que souligne S. Reboul.
Je ne vois pas vraiment de solution, mais appliquer le droit du travail aux prostituées serait tout de même un moindre mal.