Merci pour cet éclairage sur ce livre trop peu connu chez nous. J’ai moi-même découvert le I Ching à 15 ans (avec le Maître du Haut Château de Philip Dick, comme beaucoup de lecteurs de l’époque), et je n’ai jamais été déçu par ses réponses. A noter une spécificité du I Ching (qui va dans votre sens) : la réponse obtenue correspond souvent à la question qui se pose de façon sous-jacente à la question explicitement posée. Un livre, et même un univres d’une profondeur inégalée. On trouve assez facilement des traductions correctes, la référence est bien sûr le Wilhelm-Perrot (avec commentaires de Confucius), que je trouve un peu lourdingue personnellement. Le mieux est d’en avoir deux ou trois, pour se faire une meilleure idée.
Et n’oublions jamais : la persévérance est avantageuse...