Romney s’est en effet fait flipflopper par les ultraconservateurs, qui n’ont jamais cru à ses revirements de campagne. Le réformateur est en effet "progressivement" devenu conservateur en disant "amen" sur tous les sujets qui fâchent.
Ces primaires républicaines ont comme prévu été marquées par les exigences impérieuses des fondamentalistes qui ne veulent pas que le successeur de Bush remette en cause leurs acquis de 8 ans de bons et loyaux sévices... :