Quand j’étais étudiant, dans les années 1994-1999, j’aimais bien faire grêve, même si je ne savais pas pourquoi. On parlait de nous à la télé, on se sentait forts, invincibles. Lors des votes à main levée dans les assemblées générales c’etait presque l’unanimité (en fait les proposition etaient formulées de telle sorte que voter non etait ridicule).
Plein de bons souvenirs, même si, en y repensant, j’étais quand même un sacré branleur.