La question qui demeure toujours sans réponse : Pourquoi certaines communautés étrangères ne posent aucun problème d’intégration, tandis que d’autres échouent dans cette entreprise.
Les communauté asiatiques ne font pas parler d’elle, ne connaissent pas de problème de chômage et semblent heureuses de vivre à Chinatown, où elle réussissent l’exploit d’attirer les autochtones qui fournissent 80% de la clientèle de leurs restaurants.
On pourra sonner les cloches à Notre-Dame le jour où les français se rendront en masse en Seine-Saint-Denis pour aller diner dans des restaurants arabes.
Pourquoi nier l’évidence ? les raisons de l’échec de l’intégration de certaines communautés immigrées n’ont rien à voir avec la qualité de l’accueil que nous leur avons réservé, car nous les avons toutes accueillies avec la même indifférence.