Je réponds avec plaisir à Furtif, en me replaçant dans le contexte à l’origine de notre échange.
Votre icône cycladique me transportait dans un autre monde qui par sa luminosité, sa grâce, sa pureté, sa mélodie et son appartenance au temps universel me parlait d’ Amadéus Mozart.
Cela se situait au delà de toute référence historique, dans un espace traversé par les Dieux.
> Mozart à l’heure du requiem
par jack mandon (IP:xxx.x76.38.248) le 4 mars 2008 à 19H08
Qui se cache derrière Furtif ?
Au delà ou en de çà du visage dorien pétrifié et poli...
Dans ce regard intérieur énigmatique ?
La recherche d’un passé glorieux, le souvenir de la pythonisse de Delphes,
le chaos cycladique sur les traces d’Homère au coeur de l’Atlantide ?
Choix esthétique, sculpture délicate, dépouillement, quête de l’essentiel ?
En attendant, c’est un beau choix.
La critique est sobre, élégante, exigeante, intelligente...comme la statuette, elle me
parle d’Amadéus et apporte sa contribution à la communication.
Par delà toute évocation poétique ou critique constructive, il me plait à espérer à la dimension d’éternité.