IL ne s’agit nullement d’un poisson d’avril mais d’une tendance inéluctable.
Le pouvoir centralisé peut être maintenant contré avec plus d’efficacité par les citoyens connectés en réseaux.
Les détenteurs du pouvoir peuvent abuser, les outils dont nous disposons aujourd’hui peuvent également se prêter à des pratiques criticables, voir dangereuses.
C’est pour cela que je parle de plus en plus d’alchimie des multitudes. Nous produisons de l’or et du plomb... à nous de faire le tri.
Mais sur le fond, la distribution du pouvoir, comme celle du savoir, me semble plutôt une bonne chose... à condition de faire très attention aux conditions de l’exercice et d’être conscient des dangers encourus.