Je lis toujours vos article avec beaucoup d’intérêt.
Là, pardon de tenter d’être adogmatique, mais pourquoi n’y a-t-il qu’une chose que personne ne se risque à remettre en cause : la croissance ?
Avoir plus, toujours plus, que l’on soit citoyen du Premier Monde, ou Chinois, serait-ce même démocratiquement comme vous l’entendez, est-il donc le seul moyen mondialement imposé de vivre, d’être heureux ?
Au risque de paraphraser (en vachement plus mal) Paul Valéry, notre monde n’est-il pas fini, lui ? (remarque la question se pose aussi pour nous, humains, qui, ne mon point de vue de gars un peu ahuri, poussons fort vers la 6e extinction quand même...).