Hervé Kempf a en effet écrit un petit brûlot que tous ceux qui s’intéressent à la question : "comment les riches détruisent la planète" devraient lire.
L’expression employée par Kempf de "pseudo-réalisme" désigne ici ce que les prédateurs eux-mêmes appellent pragmatisme : ’greed is good’ déclarait Michael Douglas dans ’Wall Street’. Pour moi il ne s’agit là que d’opportunisme égoïste, pardon pour le pléonasme.