D’accord avec le point de vue de JP Doguet, le travail de R Serra résiste autrement que par le poids des structures d’acier. Ce qui est extraordinaire c’est le sentiment de la finesse de l’installation, du réglage sensible par rapport à l’espace, en regard des masses employées. La seule remarque à décharge de son travail : j’avais vu son installation au CAPC de Bordeaux dans les années 80, trés similaire, et peut être qu’il ne renouvelle pas trop son langage, et que sa signature formelle, même si elle reste trés belle , est peut être en train de se scléroser.