D’accord mille fois, Olga, Salammbô est aérien évanescent, rien d’amidonné...
Que dire des Trois Contes... Et l’Education Sentimentale joue son rôle adolescent, fier bravache et introspectif, l’oeuvre appliquée à la réalité décrite.
Il savait fondre l’écrit dans le ressenti qu’il en disparaissait presque, tout l’opposait aux Balthazac, Chateaubranlant et Hugo Boss...
Le "gueuloir" n’avait rien de laborieux mais permettait de sentir le rythme, le phrasé, les associations, la sonorité du texte. Il s’adonnait plus à ces contraintes par soucis qualitatif que par difficulté scripturale. Maupassant louait à longueur de temps son perfectionnisme quasi outrancier.
Espérons que Weber saura sortir du cadre Parisien pour venir nous faire rêver en province.
@ l’Auteur,
Merci, tout de même pour cet article sur le plus fantasque et fantastique génie plumitif Français.