Alors, ça, si la pauvreté intellectuelle de l’hydrocéphale marsupial vient à votre secours, je suis prêt à pardonner votre incurie musicale mon pauvre Dugué.
On n’est jamais défendu que par celui mérité, et là on touche les abysses, pour cela je ne m’imposerai plus, ayant de très mauvaises sensations aquatiques à la pression, je vous laisse donc vous noyer avec l’ersatz cacochyme qu’est votre avocat du jour.
Un seul petit mot supplémentaire, non sur vos étonnantes capacités caméléon à muter du philosophe au politologue, du psychothérapeute au musicologue, mais sur vos manières et votre impéritie à vous amender, si le fond est discutable, la forme de l’article, reconnaissez au moins cela, est maladroite et fort peu intelligible. Pointer au déshonneur quand on endosse ses fautes est une hérésie, l’esprit ne peut qu’y trouver gloire et prestige.