Les grèves semblent ne pu être des mouvements collectives efficaces aux yeux des salariés.
Leur réaction est souvent la suivante : « Pourquoi perdre de l’argent à faire une grève, alors que l’on a à peine de quoi remplir son assiette. Tout le monde attend résigné la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy pour annuler ses réformes socialement rétrogrades. Les syndicats seraient bien inspirés de couper le dialogue avec ce dictateur masqué, sous peine de perdre encore plus de crédibilité. Nicolas Sarkozy n’est pas le réformateur que les Français attendait, son successeur à quatre ans pour peaufiner son plan d’action »
De nouvelles méthodes doivent porter leur fruit. La méthode « ju-jitsu de masse » doit être mis à la connaissance de nos concitoyens. Sans violence et sans heurt. Un doux rêve ?